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La sérénité dans la vie du Prophète (Salla Allahou Alaihi wa Sallam) et ses Compagnons
La sérénité dans la vie du Prophète (Salla Allahou Alaihi wa Sallam) et ses Compagnons

Si la sérénité envahit le cœur, il sera apaisé, les membres se calmeront, se recueilleront et se pareront de dignité ; et c'est là que la langue sera muée par la vérité et la sagesse. Tel était le cas du Prophète (Salla Allahou Alaihi wa Sallam)

Le Prophète (Salla Allahou Alaihi wa Sallam) était le meilleur de tous les hommes : il était le meilleur d’entre eux vis-à-vis de sa communauté et le meilleur d’entre eux avec ses épouses. C’est lui qui a dit :

« Le meilleur d’entre vous est celui qui se comporte le mieux avec ses épouses, et je suis celui qui se comporte le mieux avec mes épouses » [At-Tirmidhi (Al-Albaani : Sahiih)].

Cette supériorité morale dans ses relations avec ses épouses, qu’Allah soit satisfait d’elles, se manifesta sous la forme de la plus parfaite conduite qui soit ; en matière de bonnes manières, de gratification, de respect, de bon traitement, d’affection, de cajoleries, de caresses, de plaisanteries, d’équité, de miséricorde et de fidélité, entre autres vertus indispensables pour mener une bonne vie conjugale. Le Prophète (Salla Allahou Alaihi wa Sallam) était toujours de commerce agréable et affable avec ses épouses.

Son respect et sa considération pour ses épouses atteignirent un degré inouï que ni les Arabes, ni les non Arabes n’ont jamais connu, au point que le Prophète (Salla Allahou Alaihi wa Sallam) plaça son genou pour permettre à son épouse Safiyah, qu’Allah soit satisfait d’elle, d’y poser les pieds pour qu’elle puisse monter son chameau (Boukhari et Mouslim).

Cet amour, cette fidélité, cette considération, ce respect et cette bienfaisance ne s’arrêtaient pas lorsque l’une d’elle venait à décéder, mais elle se poursuivait même après sa mort. Lorsqu’il égorgeait un mouton, il le découpait et en envoyait une part aux amies de Khadîdja, qu’Allah soit satisfait d’elle (Boukhari et Mouslim).

De tous les hommes, le Prophète (Salla Allahou Alaihi wa Sallam) était le plus longanime avec ses épouses. Il pardonnait leurs écarts de conduite, faisait montre de compassion, supportait la jalousie des unes envers les autres, consolait celle qui subissait une vexation de la part de l’une de ses co-épouses, rappelait à l’ordre et exhortait cette dernière.

Anas, qu’Allah soit satisfait de lui, rapporta que quand Safiyah sut que Hafsah disait d’elle avec mépris qu’elle était la fille d’un juif, elle se mit à pleurer. Le Prophète (Salla Allahou Alaihi wa Sallam) entrant chez elle et la trouvant ainsi, lui demanda la raison de ses larmes. Elle lui répondit : « Hafsah a dit de moi que j’étais la fille d’un juif ». Le Prophète (Salla Allahou Alaihi wa Sallam) lui dit alors :

« Tu es certes la descendante d’un prophète, ton oncle paternel est un prophète et tu es l’épouse d’un prophète. Peut-elle donc se permettre de se vanter devant toi ? ».

Puis, il dit à Hafsah : « Crains Allah, Ô Hafsah » [Ahmad, At-Tirmidhi et Ibn Hibbân (Al-Albaani : Sahiih)].

Le Prophète (Salla Allahou Alaihi wa Sallam) avait pour habitude d’entrer chez ses épouses avec un sourire qui illuminait son visage, remplissant leurs cœurs et leurs appartements de chaleur humaine et de bonheur.

L’une des facettes de la parfaite éthique du Prophète (Salla Allahou Alaihi wa Sallam) avec sa famille et ses épouses, se manifestait à travers le fait qu’il était bienfaisant, affectueux et affable à leur égard ; il plaisantait avec elles, leurs disait des mots tendres et les cajolait.

Il donnait à Aïcha, qu’Allah soit satisfait d’elle, des surnoms affecteux, tels que « `Aïche » (Boukhari) ou « Homayra’ » [An-Nassâ-i (Al-Albâni : Sahîh)].

Il l’honorait en l’appelant avec le nom de son père et en lui disant : « Ô fille d’As-Siddîq » [Ahmad, al-Tirmidhi et Ibn Mâdjah (Al-Albâni : Sahîh)], en guise d’amabilité, de familiarité, d’affection à son égard, de respect et de considération pour sa famille.

Le Prophète (Salla Allahou Alaihi wa Sallam) aidait ses épouses dans toutes leurs affaires et était à leur service. Aïcha, qu’Allah soit satisfait d’elle, faisait le Ghosl avec lui et utilisaient le même récipient. Il lui disait : « Laisse-moi un peu d’eau », et elle lui disait de même (Boukhari et Mouslim).

Le Prophète (Salla Allahou Alaihi wa Sallam) envoyait les filles des Ansârs à Aïcha, qu’Allah soit satisfait d’elle, pour qu’elles jouent avec elle.

Aïcha, qu’Allah soit satisfait d’elle, évoqua cette vertu éminente du Prophète Salla (Allahou Alaihi wa Sallam) fort soucieux de la distraire et de la réjouir, et dit : « Je jouais à la poupée chez le Prophète (Salla Allahou Alaihi wa Sallam) et je reçevais des amies qui venaient jouer avec moi. Quand le Prophète (Salla Allahou Alaihi wa Sallam) entrait, elles se cachaient par timidité. Alors, il les ramenait vers moi pour qu’elles continuent à jouer avec moi » (Boukhari et Mouslim).

Le Prophète (Salla Allahou Alaihi wa Sallam) était d’un abord facile : quand Aïcha, qu’Allah soit satisfait d’elle, avait envie d’une chose, à moins que ce soit une chose réprimandée ou préjudiciable d’un point de vue religieux, il exauçait sa demande, comme, entre autres, sa demande d’accomplir une `Omrah (petit pèlerinage).

Quand elle buvait dans une tasse, il la prenait et buvait en déposant ses lèvres à l’endroit même où elle avait posé les siennes. Aïcha, qu’Allah soit satisfait d’elle, rapporta ce qui suit : « Quand je buvais quelque chose, alors que j’avais mes menstrues, puis que je le donnai à boire au Prophète (Salla Allahou Alaihi wa Sallam) il buvait en posant ses lèvres là où j’avais mis les miennes. Et quand je mangeais un os entouré de viande, alors que j’avais mes menstrues, puis que je le donnais à manger au Prophète (Salla Allahou Alaihi wa Sallam) il mangeait, en posant ses lèvres là où j’avais mis les miennes » (Mouslim).

Le Prophète (Salla Allahou Alaihi wa Sallam) s’appuyait sur le giron de Aïcha, qu’Allah soit satisfait de lui, même lorsqu'elle avait ses menstrues, et récitait le Coran. (Boukhari et Mouslim).

Quand elle avait ses menstrues, il l’enjoignait parfois de s’envelopper d’un pagne et la caressait (Boukhari et Mouslim). En outre, il l’embrassait quand il jeûnait (Boukhari et Mouslim).

Un autre aspect de sa gentillesse et de son bon comportement résidait dans le fait qu’il lui permettait de se distraire.

Lorsque Aïcha, qu’Allah soit satisfait d’elle, fut interrogée au sujet des activités du Prophète (Salla Allahou Alaihi wa Sallam) chez lui, elle répondit : « Il aidait ses épouses dans les tâches ménagères, et quand venait l’heure de la prière, il faisait ses ablutions et sortait pour l’accomplir » (Boukhari).

Aïcha, qu’Allah soit satisfait d’elle, dit : « Le Prophète (Salla Allahou Alaihi wa Sallam) recousait son Qamis, réparait ses chaussures et faisait à la maison ce que les hommes ordinaires font chez eux. » [Ahmad et Ibn Hibbân (Al-Albâni : Sahîh)].

Elle rapporta également ce qui suit : « Je sortis avec le Prophète (Salla Allahou Alaihi wa Sallam) dans l’une de ses expéditions, alors que je n’étais qu’une fille qui n’avait pas encore d’embonpoint. Il dit aux gens: ‘Avancez-vous’, ils s’avancèrent, puis il dit: ‘Viens faire la course avec moi’. Je fis la course avec lui et l’emportai. Puis il attendit jusqu’à ce que j’aie de l’embonpoint. Je participai à l’un de ses voyages et il dit aux gens : ‘Avancez-vous’. Puis, il me dit : ‘Viens faire la course avec moi’. Il gagna la course et se mit à rire en disant : ‘Une victoire contre une victoire’ » [Ahmad et Abou Dawûd (Al-Albâni : Sahîh)].

Allah, exalté soit-Il, dit en toute vérité (sens du verset) : « Et tu es certes, d’une moralité éminente » (Coran 68/4).
) quand il a commencé à proclamer la vérité parmi les hommes et à transmettre son Message de monothéisme parmi les polythéistes. Il a subi le tort que l’on sait : on a essayé de l'étrangler une fois, on a jeté une autre fois les entrailles d’un chameau sur son noble dos, il a été assiégé dans les sentiers de montagne pendant trois ans, a été accusé d'être un sorcier, un devin, un fou, d’être à l'origine de la séparation entre les époux, etc.

Il a enduré tout cela avec patience et en espérant la rétribution d'Allah, exalté soit-Il, et a dit à son oncle lorsqu'il essaya de le convaincre de trouver un compromis avec les dirigeants de Quraysh : « Je jure par le nom d’Allah, Ô mon oncle ! Que s'ils mettent le soleil dans ma main droite et la lune dans ma main gauche pour que je renonce à ma mission  (appeler les gens à l'Islam), je n'y renoncerai pas jusqu'à ce qu’Allah fasse triompher l'Islam ou que je périsse en le défendant ! »

Il a répondu aux actes de malveillance par des actes de bienfaisance. Il a poursuivi sa prédication sans tenir compte de leur refus et de leur détournement des gens qui adorent Allah tout en répétant : « Ô Allah, pardonne aux gens de mon peuple, car ils ne savent pas ». Il a même invoqué Allah en leur faveur : « J'espère en fait qu'Allah fasse de leurs descendants des hommes qui L'adorent Lui Seul sans rien Lui associer »

La sérénité, un signe de foi solide :

La sérénité est un signe de foi solide et de confiance en Allah, le Très Haut. Elle entraîne l'humilité et la tranquillité, elle procure à celui qui la possède la dignité aux moments où le cœur est pris de panique et où la raison s'égare. Dans ce contexte, méditez sur le jour de l'émigration quand Abû Bakr dit : «'Si l'un d'eux regardait dans la direction de ses pieds, il nous verrait'. Le Messager () lui dit alors:  'Que penses-tu, ô Abû Bakr, de deux personnes qui jouissent de la protection et du soutien d'Allah ?'».

A ce propos, Allah, le Très Haut, dit (sens du verset) : « Si vous ne lui portez pas secours... Allah l’a déjà secouru, lorsque ceux qui avaient mécru l’avaient banni, deuxième de deux. Quand ils étaient dans la grotte et qu’il disait à son compagnon : 'Ne t’afflige pas, car Allah est avec nous.' Allah fit alors descendre sur Lui Sa sérénité (sakîna) et le soutint de soldats (Anges) que vous ne voyiez pas, et Il abaissa ainsi la parole des mécréants, tandis que la parole d’Allah eut le dessus. Et Allah est Puissant et Sage » (Coran 9/40).

Le jour du pacte d'al-Hudaybiyya, lorsque les Compagnons au début furent réticent et ne comprirent pas la souplesse du Prophète

Le Prophète (Salla Allahou Alaihi wa Sallam) était le meilleur de tous les hommes : il était le meilleur d’entre eux vis-à-vis de sa communauté et le meilleur d’entre eux avec ses épouses. C’est lui qui a dit :

« Le meilleur d’entre vous est celui qui se comporte le mieux avec ses épouses, et je suis celui qui se comporte le mieux avec mes épouses » [At-Tirmidhi (Al-Albaani : Sahiih)].

Cette supériorité morale dans ses relations avec ses épouses, qu’Allah soit satisfait d’elles, se manifesta sous la forme de la plus parfaite conduite qui soit ; en matière de bonnes manières, de gratification, de respect, de bon traitement, d’affection, de cajoleries, de caresses, de plaisanteries, d’équité, de miséricorde et de fidélité, entre autres vertus indispensables pour mener une bonne vie conjugale. Le Prophète (Salla Allahou Alaihi wa Sallam) était toujours de commerce agréable et affable avec ses épouses.

Son respect et sa considération pour ses épouses atteignirent un degré inouï que ni les Arabes, ni les non Arabes n’ont jamais connu, au point que le Prophète (Salla Allahou Alaihi wa Sallam) plaça son genou pour permettre à son épouse Safiyah, qu’Allah soit satisfait d’elle, d’y poser les pieds pour qu’elle puisse monter son chameau (Boukhari et Mouslim).

Cet amour, cette fidélité, cette considération, ce respect et cette bienfaisance ne s’arrêtaient pas lorsque l’une d’elle venait à décéder, mais elle se poursuivait même après sa mort. Lorsqu’il égorgeait un mouton, il le découpait et en envoyait une part aux amies de Khadîdja, qu’Allah soit satisfait d’elle (Boukhari et Mouslim).

De tous les hommes, le Prophète (Salla Allahou Alaihi wa Sallam) était le plus longanime avec ses épouses. Il pardonnait leurs écarts de conduite, faisait montre de compassion, supportait la jalousie des unes envers les autres, consolait celle qui subissait une vexation de la part de l’une de ses co-épouses, rappelait à l’ordre et exhortait cette dernière.

Anas, qu’Allah soit satisfait de lui, rapporta que quand Safiyah sut que Hafsah disait d’elle avec mépris qu’elle était la fille d’un juif, elle se mit à pleurer. Le Prophète (Salla Allahou Alaihi wa Sallam) entrant chez elle et la trouvant ainsi, lui demanda la raison de ses larmes. Elle lui répondit : « Hafsah a dit de moi que j’étais la fille d’un juif ». Le Prophète (Salla Allahou Alaihi wa Sallam) lui dit alors :

« Tu es certes la descendante d’un prophète, ton oncle paternel est un prophète et tu es l’épouse d’un prophète. Peut-elle donc se permettre de se vanter devant toi ? ».

Puis, il dit à Hafsah : « Crains Allah, Ô Hafsah » [Ahmad, At-Tirmidhi et Ibn Hibbân (Al-Albaani : Sahiih)].

Le Prophète (Salla Allahou Alaihi wa Sallam) avait pour habitude d’entrer chez ses épouses avec un sourire qui illuminait son visage, remplissant leurs cœurs et leurs appartements de chaleur humaine et de bonheur.

L’une des facettes de la parfaite éthique du Prophète (Salla Allahou Alaihi wa Sallam) avec sa famille et ses épouses, se manifestait à travers le fait qu’il était bienfaisant, affectueux et affable à leur égard ; il plaisantait avec elles, leurs disait des mots tendres et les cajolait.

Il donnait à Aïcha, qu’Allah soit satisfait d’elle, des surnoms affecteux, tels que « `Aïche » (Boukhari) ou « Homayra’ » [An-Nassâ-i (Al-Albâni : Sahîh)].

Il l’honorait en l’appelant avec le nom de son père et en lui disant : « Ô fille d’As-Siddîq » [Ahmad, al-Tirmidhi et Ibn Mâdjah (Al-Albâni : Sahîh)], en guise d’amabilité, de familiarité, d’affection à son égard, de respect et de considération pour sa famille.

Le Prophète (Salla Allahou Alaihi wa Sallam) aidait ses épouses dans toutes leurs affaires et était à leur service. Aïcha, qu’Allah soit satisfait d’elle, faisait le Ghosl avec lui et utilisaient le même récipient. Il lui disait : « Laisse-moi un peu d’eau », et elle lui disait de même (Boukhari et Mouslim).

Le Prophète (Salla Allahou Alaihi wa Sallam) envoyait les filles des Ansârs à Aïcha, qu’Allah soit satisfait d’elle, pour qu’elles jouent avec elle.

Aïcha, qu’Allah soit satisfait d’elle, évoqua cette vertu éminente du Prophète Salla (Allahou Alaihi wa Sallam) fort soucieux de la distraire et de la réjouir, et dit : « Je jouais à la poupée chez le Prophète (Salla Allahou Alaihi wa Sallam) et je reçevais des amies qui venaient jouer avec moi. Quand le Prophète (Salla Allahou Alaihi wa Sallam) entrait, elles se cachaient par timidité. Alors, il les ramenait vers moi pour qu’elles continuent à jouer avec moi » (Boukhari et Mouslim).

Le Prophète (Salla Allahou Alaihi wa Sallam) était d’un abord facile : quand Aïcha, qu’Allah soit satisfait d’elle, avait envie d’une chose, à moins que ce soit une chose réprimandée ou préjudiciable d’un point de vue religieux, il exauçait sa demande, comme, entre autres, sa demande d’accomplir une `Omrah (petit pèlerinage).

Quand elle buvait dans une tasse, il la prenait et buvait en déposant ses lèvres à l’endroit même où elle avait posé les siennes. Aïcha, qu’Allah soit satisfait d’elle, rapporta ce qui suit : « Quand je buvais quelque chose, alors que j’avais mes menstrues, puis que je le donnai à boire au Prophète (Salla Allahou Alaihi wa Sallam) il buvait en posant ses lèvres là où j’avais mis les miennes. Et quand je mangeais un os entouré de viande, alors que j’avais mes menstrues, puis que je le donnais à manger au Prophète (Salla Allahou Alaihi wa Sallam) il mangeait, en posant ses lèvres là où j’avais mis les miennes » (Mouslim).

Le Prophète (Salla Allahou Alaihi wa Sallam) s’appuyait sur le giron de Aïcha, qu’Allah soit satisfait de lui, même lorsqu'elle avait ses menstrues, et récitait le Coran. (Boukhari et Mouslim).

Quand elle avait ses menstrues, il l’enjoignait parfois de s’envelopper d’un pagne et la caressait (Boukhari et Mouslim). En outre, il l’embrassait quand il jeûnait (Boukhari et Mouslim).

Un autre aspect de sa gentillesse et de son bon comportement résidait dans le fait qu’il lui permettait de se distraire.

Lorsque Aïcha, qu’Allah soit satisfait d’elle, fut interrogée au sujet des activités du Prophète (Salla Allahou Alaihi wa Sallam) chez lui, elle répondit : « Il aidait ses épouses dans les tâches ménagères, et quand venait l’heure de la prière, il faisait ses ablutions et sortait pour l’accomplir » (Boukhari).

Aïcha, qu’Allah soit satisfait d’elle, dit : « Le Prophète (Salla Allahou Alaihi wa Sallam) recousait son Qamis, réparait ses chaussures et faisait à la maison ce que les hommes ordinaires font chez eux. » [Ahmad et Ibn Hibbân (Al-Albâni : Sahîh)].

Elle rapporta également ce qui suit : « Je sortis avec le Prophète (Salla Allahou Alaihi wa Sallam) dans l’une de ses expéditions, alors que je n’étais qu’une fille qui n’avait pas encore d’embonpoint. Il dit aux gens: ‘Avancez-vous’, ils s’avancèrent, puis il dit: ‘Viens faire la course avec moi’. Je fis la course avec lui et l’emportai. Puis il attendit jusqu’à ce que j’aie de l’embonpoint. Je participai à l’un de ses voyages et il dit aux gens : ‘Avancez-vous’. Puis, il me dit : ‘Viens faire la course avec moi’. Il gagna la course et se mit à rire en disant : ‘Une victoire contre une victoire’ » [Ahmad et Abou Dawûd (Al-Albâni : Sahîh)].

Allah, exalté soit-Il, dit en toute vérité (sens du verset) : « Et tu es certes, d’une moralité éminente » (Coran 68/4).
 face aux exigences des Quraychites, il (

Le Prophète (Salla Allahou Alaihi wa Sallam) était le meilleur de tous les hommes : il était le meilleur d’entre eux vis-à-vis de sa communauté et le meilleur d’entre eux avec ses épouses. C’est lui qui a dit :

« Le meilleur d’entre vous est celui qui se comporte le mieux avec ses épouses, et je suis celui qui se comporte le mieux avec mes épouses » [At-Tirmidhi (Al-Albaani : Sahiih)].

Cette supériorité morale dans ses relations avec ses épouses, qu’Allah soit satisfait d’elles, se manifesta sous la forme de la plus parfaite conduite qui soit ; en matière de bonnes manières, de gratification, de respect, de bon traitement, d’affection, de cajoleries, de caresses, de plaisanteries, d’équité, de miséricorde et de fidélité, entre autres vertus indispensables pour mener une bonne vie conjugale. Le Prophète (Salla Allahou Alaihi wa Sallam) était toujours de commerce agréable et affable avec ses épouses.

Son respect et sa considération pour ses épouses atteignirent un degré inouï que ni les Arabes, ni les non Arabes n’ont jamais connu, au point que le Prophète (Salla Allahou Alaihi wa Sallam) plaça son genou pour permettre à son épouse Safiyah, qu’Allah soit satisfait d’elle, d’y poser les pieds pour qu’elle puisse monter son chameau (Boukhari et Mouslim).

Cet amour, cette fidélité, cette considération, ce respect et cette bienfaisance ne s’arrêtaient pas lorsque l’une d’elle venait à décéder, mais elle se poursuivait même après sa mort. Lorsqu’il égorgeait un mouton, il le découpait et en envoyait une part aux amies de Khadîdja, qu’Allah soit satisfait d’elle (Boukhari et Mouslim).

De tous les hommes, le Prophète (Salla Allahou Alaihi wa Sallam) était le plus longanime avec ses épouses. Il pardonnait leurs écarts de conduite, faisait montre de compassion, supportait la jalousie des unes envers les autres, consolait celle qui subissait une vexation de la part de l’une de ses co-épouses, rappelait à l’ordre et exhortait cette dernière.

Anas, qu’Allah soit satisfait de lui, rapporta que quand Safiyah sut que Hafsah disait d’elle avec mépris qu’elle était la fille d’un juif, elle se mit à pleurer. Le Prophète (Salla Allahou Alaihi wa Sallam) entrant chez elle et la trouvant ainsi, lui demanda la raison de ses larmes. Elle lui répondit : « Hafsah a dit de moi que j’étais la fille d’un juif ». Le Prophète (Salla Allahou Alaihi wa Sallam) lui dit alors :

« Tu es certes la descendante d’un prophète, ton oncle paternel est un prophète et tu es l’épouse d’un prophète. Peut-elle donc se permettre de se vanter devant toi ? ».

Puis, il dit à Hafsah : « Crains Allah, Ô Hafsah » [Ahmad, At-Tirmidhi et Ibn Hibbân (Al-Albaani : Sahiih)].

Le Prophète (Salla Allahou Alaihi wa Sallam) avait pour habitude d’entrer chez ses épouses avec un sourire qui illuminait son visage, remplissant leurs cœurs et leurs appartements de chaleur humaine et de bonheur.

L’une des facettes de la parfaite éthique du Prophète (Salla Allahou Alaihi wa Sallam) avec sa famille et ses épouses, se manifestait à travers le fait qu’il était bienfaisant, affectueux et affable à leur égard ; il plaisantait avec elles, leurs disait des mots tendres et les cajolait.

Il donnait à Aïcha, qu’Allah soit satisfait d’elle, des surnoms affecteux, tels que « `Aïche » (Boukhari) ou « Homayra’ » [An-Nassâ-i (Al-Albâni : Sahîh)].

Il l’honorait en l’appelant avec le nom de son père et en lui disant : « Ô fille d’As-Siddîq » [Ahmad, al-Tirmidhi et Ibn Mâdjah (Al-Albâni : Sahîh)], en guise d’amabilité, de familiarité, d’affection à son égard, de respect et de considération pour sa famille.

Le Prophète (Salla Allahou Alaihi wa Sallam) aidait ses épouses dans toutes leurs affaires et était à leur service. Aïcha, qu’Allah soit satisfait d’elle, faisait le Ghosl avec lui et utilisaient le même récipient. Il lui disait : « Laisse-moi un peu d’eau », et elle lui disait de même (Boukhari et Mouslim).

Le Prophète (Salla Allahou Alaihi wa Sallam) envoyait les filles des Ansârs à Aïcha, qu’Allah soit satisfait d’elle, pour qu’elles jouent avec elle.

Aïcha, qu’Allah soit satisfait d’elle, évoqua cette vertu éminente du Prophète Salla (Allahou Alaihi wa Sallam) fort soucieux de la distraire et de la réjouir, et dit : « Je jouais à la poupée chez le Prophète (Salla Allahou Alaihi wa Sallam) et je reçevais des amies qui venaient jouer avec moi. Quand le Prophète (Salla Allahou Alaihi wa Sallam) entrait, elles se cachaient par timidité. Alors, il les ramenait vers moi pour qu’elles continuent à jouer avec moi » (Boukhari et Mouslim).

Le Prophète (Salla Allahou Alaihi wa Sallam) était d’un abord facile : quand Aïcha, qu’Allah soit satisfait d’elle, avait envie d’une chose, à moins que ce soit une chose réprimandée ou préjudiciable d’un point de vue religieux, il exauçait sa demande, comme, entre autres, sa demande d’accomplir une `Omrah (petit pèlerinage).

Quand elle buvait dans une tasse, il la prenait et buvait en déposant ses lèvres à l’endroit même où elle avait posé les siennes. Aïcha, qu’Allah soit satisfait d’elle, rapporta ce qui suit : « Quand je buvais quelque chose, alors que j’avais mes menstrues, puis que je le donnai à boire au Prophète (Salla Allahou Alaihi wa Sallam) il buvait en posant ses lèvres là où j’avais mis les miennes. Et quand je mangeais un os entouré de viande, alors que j’avais mes menstrues, puis que je le donnais à manger au Prophète (Salla Allahou Alaihi wa Sallam) il mangeait, en posant ses lèvres là où j’avais mis les miennes » (Mouslim).

Le Prophète (Salla Allahou Alaihi wa Sallam) s’appuyait sur le giron de Aïcha, qu’Allah soit satisfait de lui, même lorsqu'elle avait ses menstrues, et récitait le Coran. (Boukhari et Mouslim).

Quand elle avait ses menstrues, il l’enjoignait parfois de s’envelopper d’un pagne et la caressait (Boukhari et Mouslim). En outre, il l’embrassait quand il jeûnait (Boukhari et Mouslim).

Un autre aspect de sa gentillesse et de son bon comportement résidait dans le fait qu’il lui permettait de se distraire.

Lorsque Aïcha, qu’Allah soit satisfait d’elle, fut interrogée au sujet des activités du Prophète (Salla Allahou Alaihi wa Sallam) chez lui, elle répondit : « Il aidait ses épouses dans les tâches ménagères, et quand venait l’heure de la prière, il faisait ses ablutions et sortait pour l’accomplir » (Boukhari).

Aïcha, qu’Allah soit satisfait d’elle, dit : « Le Prophète (Salla Allahou Alaihi wa Sallam) recousait son Qamis, réparait ses chaussures et faisait à la maison ce que les hommes ordinaires font chez eux. » [Ahmad et Ibn Hibbân (Al-Albâni : Sahîh)].

Elle rapporta également ce qui suit : « Je sortis avec le Prophète (Salla Allahou Alaihi wa Sallam) dans l’une de ses expéditions, alors que je n’étais qu’une fille qui n’avait pas encore d’embonpoint. Il dit aux gens: ‘Avancez-vous’, ils s’avancèrent, puis il dit: ‘Viens faire la course avec moi’. Je fis la course avec lui et l’emportai. Puis il attendit jusqu’à ce que j’aie de l’embonpoint. Je participai à l’un de ses voyages et il dit aux gens : ‘Avancez-vous’. Puis, il me dit : ‘Viens faire la course avec moi’. Il gagna la course et se mit à rire en disant : ‘Une victoire contre une victoire’ » [Ahmad et Abou Dawûd (Al-Albâni : Sahîh)].

Allah, exalté soit-Il, dit en toute vérité (sens du verset) : « Et tu es certes, d’une moralité éminente » (Coran 68/4).
) leur dit : «Ce sont là les ordres de mon Seigneur et Il ne m'égarera pas ». Le jour de la bataille d'Uhud, l'une de ses incisives fut cassée et son noble visage blessé. Lors de la bataille d'al-Ahzâb (les Coalisés) il plaça sous sa ceinture deux pierres pour augmenter la pression sur son ventre à cause de la faim qui le tenaillait et avait le corps couvert de la poussière qu'il s'évertuait  à transporter loin de la  trachée creusée par ses Compagnons en répétant avec eux : « Seigneur, sans Toi nous n'aurions pas été dirigés dans la bonne voie. Nous n'aurions fait ni aumône ni prière. Fais descendre sur nous la quiétude. Affermis nos pas à la rencontre de l'ennemi. Et si ceux qui nous ont opprimés essayent de nous diviser, nous resterons unis » (Boukhari).

Celui qui médite sur les actes et les paroles du Prophète (

Le Prophète (Salla Allahou Alaihi wa Sallam) était le meilleur de tous les hommes : il était le meilleur d’entre eux vis-à-vis de sa communauté et le meilleur d’entre eux avec ses épouses. C’est lui qui a dit :

« Le meilleur d’entre vous est celui qui se comporte le mieux avec ses épouses, et je suis celui qui se comporte le mieux avec mes épouses » [At-Tirmidhi (Al-Albaani : Sahiih)].

Cette supériorité morale dans ses relations avec ses épouses, qu’Allah soit satisfait d’elles, se manifesta sous la forme de la plus parfaite conduite qui soit ; en matière de bonnes manières, de gratification, de respect, de bon traitement, d’affection, de cajoleries, de caresses, de plaisanteries, d’équité, de miséricorde et de fidélité, entre autres vertus indispensables pour mener une bonne vie conjugale. Le Prophète (Salla Allahou Alaihi wa Sallam) était toujours de commerce agréable et affable avec ses épouses.

Son respect et sa considération pour ses épouses atteignirent un degré inouï que ni les Arabes, ni les non Arabes n’ont jamais connu, au point que le Prophète (Salla Allahou Alaihi wa Sallam) plaça son genou pour permettre à son épouse Safiyah, qu’Allah soit satisfait d’elle, d’y poser les pieds pour qu’elle puisse monter son chameau (Boukhari et Mouslim).

Cet amour, cette fidélité, cette considération, ce respect et cette bienfaisance ne s’arrêtaient pas lorsque l’une d’elle venait à décéder, mais elle se poursuivait même après sa mort. Lorsqu’il égorgeait un mouton, il le découpait et en envoyait une part aux amies de Khadîdja, qu’Allah soit satisfait d’elle (Boukhari et Mouslim).

De tous les hommes, le Prophète (Salla Allahou Alaihi wa Sallam) était le plus longanime avec ses épouses. Il pardonnait leurs écarts de conduite, faisait montre de compassion, supportait la jalousie des unes envers les autres, consolait celle qui subissait une vexation de la part de l’une de ses co-épouses, rappelait à l’ordre et exhortait cette dernière.

Anas, qu’Allah soit satisfait de lui, rapporta que quand Safiyah sut que Hafsah disait d’elle avec mépris qu’elle était la fille d’un juif, elle se mit à pleurer. Le Prophète (Salla Allahou Alaihi wa Sallam) entrant chez elle et la trouvant ainsi, lui demanda la raison de ses larmes. Elle lui répondit : « Hafsah a dit de moi que j’étais la fille d’un juif ». Le Prophète (Salla Allahou Alaihi wa Sallam) lui dit alors :

« Tu es certes la descendante d’un prophète, ton oncle paternel est un prophète et tu es l’épouse d’un prophète. Peut-elle donc se permettre de se vanter devant toi ? ».

Puis, il dit à Hafsah : « Crains Allah, Ô Hafsah » [Ahmad, At-Tirmidhi et Ibn Hibbân (Al-Albaani : Sahiih)].

Le Prophète (Salla Allahou Alaihi wa Sallam) avait pour habitude d’entrer chez ses épouses avec un sourire qui illuminait son visage, remplissant leurs cœurs et leurs appartements de chaleur humaine et de bonheur.

L’une des facettes de la parfaite éthique du Prophète (Salla Allahou Alaihi wa Sallam) avec sa famille et ses épouses, se manifestait à travers le fait qu’il était bienfaisant, affectueux et affable à leur égard ; il plaisantait avec elles, leurs disait des mots tendres et les cajolait.

Il donnait à Aïcha, qu’Allah soit satisfait d’elle, des surnoms affecteux, tels que « `Aïche » (Boukhari) ou « Homayra’ » [An-Nassâ-i (Al-Albâni : Sahîh)].

Il l’honorait en l’appelant avec le nom de son père et en lui disant : « Ô fille d’As-Siddîq » [Ahmad, al-Tirmidhi et Ibn Mâdjah (Al-Albâni : Sahîh)], en guise d’amabilité, de familiarité, d’affection à son égard, de respect et de considération pour sa famille.

Le Prophète (Salla Allahou Alaihi wa Sallam) aidait ses épouses dans toutes leurs affaires et était à leur service. Aïcha, qu’Allah soit satisfait d’elle, faisait le Ghosl avec lui et utilisaient le même récipient. Il lui disait : « Laisse-moi un peu d’eau », et elle lui disait de même (Boukhari et Mouslim).

Le Prophète (Salla Allahou Alaihi wa Sallam) envoyait les filles des Ansârs à Aïcha, qu’Allah soit satisfait d’elle, pour qu’elles jouent avec elle.

Aïcha, qu’Allah soit satisfait d’elle, évoqua cette vertu éminente du Prophète Salla (Allahou Alaihi wa Sallam) fort soucieux de la distraire et de la réjouir, et dit : « Je jouais à la poupée chez le Prophète (Salla Allahou Alaihi wa Sallam) et je reçevais des amies qui venaient jouer avec moi. Quand le Prophète (Salla Allahou Alaihi wa Sallam) entrait, elles se cachaient par timidité. Alors, il les ramenait vers moi pour qu’elles continuent à jouer avec moi » (Boukhari et Mouslim).

Le Prophète (Salla Allahou Alaihi wa Sallam) était d’un abord facile : quand Aïcha, qu’Allah soit satisfait d’elle, avait envie d’une chose, à moins que ce soit une chose réprimandée ou préjudiciable d’un point de vue religieux, il exauçait sa demande, comme, entre autres, sa demande d’accomplir une `Omrah (petit pèlerinage).

Quand elle buvait dans une tasse, il la prenait et buvait en déposant ses lèvres à l’endroit même où elle avait posé les siennes. Aïcha, qu’Allah soit satisfait d’elle, rapporta ce qui suit : « Quand je buvais quelque chose, alors que j’avais mes menstrues, puis que je le donnai à boire au Prophète (Salla Allahou Alaihi wa Sallam) il buvait en posant ses lèvres là où j’avais mis les miennes. Et quand je mangeais un os entouré de viande, alors que j’avais mes menstrues, puis que je le donnais à manger au Prophète (Salla Allahou Alaihi wa Sallam) il mangeait, en posant ses lèvres là où j’avais mis les miennes » (Mouslim).

Le Prophète (Salla Allahou Alaihi wa Sallam) s’appuyait sur le giron de Aïcha, qu’Allah soit satisfait de lui, même lorsqu'elle avait ses menstrues, et récitait le Coran. (Boukhari et Mouslim).

Quand elle avait ses menstrues, il l’enjoignait parfois de s’envelopper d’un pagne et la caressait (Boukhari et Mouslim). En outre, il l’embrassait quand il jeûnait (Boukhari et Mouslim).

Un autre aspect de sa gentillesse et de son bon comportement résidait dans le fait qu’il lui permettait de se distraire.

Lorsque Aïcha, qu’Allah soit satisfait d’elle, fut interrogée au sujet des activités du Prophète (Salla Allahou Alaihi wa Sallam) chez lui, elle répondit : « Il aidait ses épouses dans les tâches ménagères, et quand venait l’heure de la prière, il faisait ses ablutions et sortait pour l’accomplir » (Boukhari).

Aïcha, qu’Allah soit satisfait d’elle, dit : « Le Prophète (Salla Allahou Alaihi wa Sallam) recousait son Qamis, réparait ses chaussures et faisait à la maison ce que les hommes ordinaires font chez eux. » [Ahmad et Ibn Hibbân (Al-Albâni : Sahîh)].

Elle rapporta également ce qui suit : « Je sortis avec le Prophète (Salla Allahou Alaihi wa Sallam) dans l’une de ses expéditions, alors que je n’étais qu’une fille qui n’avait pas encore d’embonpoint. Il dit aux gens: ‘Avancez-vous’, ils s’avancèrent, puis il dit: ‘Viens faire la course avec moi’. Je fis la course avec lui et l’emportai. Puis il attendit jusqu’à ce que j’aie de l’embonpoint. Je participai à l’un de ses voyages et il dit aux gens : ‘Avancez-vous’. Puis, il me dit : ‘Viens faire la course avec moi’. Il gagna la course et se mit à rire en disant : ‘Une victoire contre une victoire’ » [Ahmad et Abou Dawûd (Al-Albâni : Sahîh)].

Allah, exalté soit-Il, dit en toute vérité (sens du verset) : « Et tu es certes, d’une moralité éminente » (Coran 68/4).
) dans les moments d'aisance comme de gêne, trouvera que la sérénité est le signe de la satisfaction d'Allah vis-à-vis du serviteur et qu'elle entraîne également la satisfaction du serviteur vis-à-vis de ce qui lui a été prescrit par Allah, exalté soit-Il. Il remarquera aussi qu'elle empêche l'abus et l'excès, qu'elle apaise le craintif et console l'affligé.
C'est grâce à la sérénité que  le serviteur obéit à Allah, le Très Haut, et se conforme au modèle du Prophète (

Le Prophète (Salla Allahou Alaihi wa Sallam) était le meilleur de tous les hommes : il était le meilleur d’entre eux vis-à-vis de sa communauté et le meilleur d’entre eux avec ses épouses. C’est lui qui a dit :

« Le meilleur d’entre vous est celui qui se comporte le mieux avec ses épouses, et je suis celui qui se comporte le mieux avec mes épouses » [At-Tirmidhi (Al-Albaani : Sahiih)].

Cette supériorité morale dans ses relations avec ses épouses, qu’Allah soit satisfait d’elles, se manifesta sous la forme de la plus parfaite conduite qui soit ; en matière de bonnes manières, de gratification, de respect, de bon traitement, d’affection, de cajoleries, de caresses, de plaisanteries, d’équité, de miséricorde et de fidélité, entre autres vertus indispensables pour mener une bonne vie conjugale. Le Prophète (Salla Allahou Alaihi wa Sallam) était toujours de commerce agréable et affable avec ses épouses.

Son respect et sa considération pour ses épouses atteignirent un degré inouï que ni les Arabes, ni les non Arabes n’ont jamais connu, au point que le Prophète (Salla Allahou Alaihi wa Sallam) plaça son genou pour permettre à son épouse Safiyah, qu’Allah soit satisfait d’elle, d’y poser les pieds pour qu’elle puisse monter son chameau (Boukhari et Mouslim).

Cet amour, cette fidélité, cette considération, ce respect et cette bienfaisance ne s’arrêtaient pas lorsque l’une d’elle venait à décéder, mais elle se poursuivait même après sa mort. Lorsqu’il égorgeait un mouton, il le découpait et en envoyait une part aux amies de Khadîdja, qu’Allah soit satisfait d’elle (Boukhari et Mouslim).

De tous les hommes, le Prophète (Salla Allahou Alaihi wa Sallam) était le plus longanime avec ses épouses. Il pardonnait leurs écarts de conduite, faisait montre de compassion, supportait la jalousie des unes envers les autres, consolait celle qui subissait une vexation de la part de l’une de ses co-épouses, rappelait à l’ordre et exhortait cette dernière.

Anas, qu’Allah soit satisfait de lui, rapporta que quand Safiyah sut que Hafsah disait d’elle avec mépris qu’elle était la fille d’un juif, elle se mit à pleurer. Le Prophète (Salla Allahou Alaihi wa Sallam) entrant chez elle et la trouvant ainsi, lui demanda la raison de ses larmes. Elle lui répondit : « Hafsah a dit de moi que j’étais la fille d’un juif ». Le Prophète (Salla Allahou Alaihi wa Sallam) lui dit alors :

« Tu es certes la descendante d’un prophète, ton oncle paternel est un prophète et tu es l’épouse d’un prophète. Peut-elle donc se permettre de se vanter devant toi ? ».

Puis, il dit à Hafsah : « Crains Allah, Ô Hafsah » [Ahmad, At-Tirmidhi et Ibn Hibbân (Al-Albaani : Sahiih)].

Le Prophète (Salla Allahou Alaihi wa Sallam) avait pour habitude d’entrer chez ses épouses avec un sourire qui illuminait son visage, remplissant leurs cœurs et leurs appartements de chaleur humaine et de bonheur.

L’une des facettes de la parfaite éthique du Prophète (Salla Allahou Alaihi wa Sallam) avec sa famille et ses épouses, se manifestait à travers le fait qu’il était bienfaisant, affectueux et affable à leur égard ; il plaisantait avec elles, leurs disait des mots tendres et les cajolait.

Il donnait à Aïcha, qu’Allah soit satisfait d’elle, des surnoms affecteux, tels que « `Aïche » (Boukhari) ou « Homayra’ » [An-Nassâ-i (Al-Albâni : Sahîh)].

Il l’honorait en l’appelant avec le nom de son père et en lui disant : « Ô fille d’As-Siddîq » [Ahmad, al-Tirmidhi et Ibn Mâdjah (Al-Albâni : Sahîh)], en guise d’amabilité, de familiarité, d’affection à son égard, de respect et de considération pour sa famille.

Le Prophète (Salla Allahou Alaihi wa Sallam) aidait ses épouses dans toutes leurs affaires et était à leur service. Aïcha, qu’Allah soit satisfait d’elle, faisait le Ghosl avec lui et utilisaient le même récipient. Il lui disait : « Laisse-moi un peu d’eau », et elle lui disait de même (Boukhari et Mouslim).

Le Prophète (Salla Allahou Alaihi wa Sallam) envoyait les filles des Ansârs à Aïcha, qu’Allah soit satisfait d’elle, pour qu’elles jouent avec elle.

Aïcha, qu’Allah soit satisfait d’elle, évoqua cette vertu éminente du Prophète Salla (Allahou Alaihi wa Sallam) fort soucieux de la distraire et de la réjouir, et dit : « Je jouais à la poupée chez le Prophète (Salla Allahou Alaihi wa Sallam) et je reçevais des amies qui venaient jouer avec moi. Quand le Prophète (Salla Allahou Alaihi wa Sallam) entrait, elles se cachaient par timidité. Alors, il les ramenait vers moi pour qu’elles continuent à jouer avec moi » (Boukhari et Mouslim).

Le Prophète (Salla Allahou Alaihi wa Sallam) était d’un abord facile : quand Aïcha, qu’Allah soit satisfait d’elle, avait envie d’une chose, à moins que ce soit une chose réprimandée ou préjudiciable d’un point de vue religieux, il exauçait sa demande, comme, entre autres, sa demande d’accomplir une `Omrah (petit pèlerinage).

Quand elle buvait dans une tasse, il la prenait et buvait en déposant ses lèvres à l’endroit même où elle avait posé les siennes. Aïcha, qu’Allah soit satisfait d’elle, rapporta ce qui suit : « Quand je buvais quelque chose, alors que j’avais mes menstrues, puis que je le donnai à boire au Prophète (Salla Allahou Alaihi wa Sallam) il buvait en posant ses lèvres là où j’avais mis les miennes. Et quand je mangeais un os entouré de viande, alors que j’avais mes menstrues, puis que je le donnais à manger au Prophète (Salla Allahou Alaihi wa Sallam) il mangeait, en posant ses lèvres là où j’avais mis les miennes » (Mouslim).

Le Prophète (Salla Allahou Alaihi wa Sallam) s’appuyait sur le giron de Aïcha, qu’Allah soit satisfait de lui, même lorsqu'elle avait ses menstrues, et récitait le Coran. (Boukhari et Mouslim).

Quand elle avait ses menstrues, il l’enjoignait parfois de s’envelopper d’un pagne et la caressait (Boukhari et Mouslim). En outre, il l’embrassait quand il jeûnait (Boukhari et Mouslim).

Un autre aspect de sa gentillesse et de son bon comportement résidait dans le fait qu’il lui permettait de se distraire.

Lorsque Aïcha, qu’Allah soit satisfait d’elle, fut interrogée au sujet des activités du Prophète (Salla Allahou Alaihi wa Sallam) chez lui, elle répondit : « Il aidait ses épouses dans les tâches ménagères, et quand venait l’heure de la prière, il faisait ses ablutions et sortait pour l’accomplir » (Boukhari).

Aïcha, qu’Allah soit satisfait d’elle, dit : « Le Prophète (Salla Allahou Alaihi wa Sallam) recousait son Qamis, réparait ses chaussures et faisait à la maison ce que les hommes ordinaires font chez eux. » [Ahmad et Ibn Hibbân (Al-Albâni : Sahîh)].

Elle rapporta également ce qui suit : « Je sortis avec le Prophète (Salla Allahou Alaihi wa Sallam) dans l’une de ses expéditions, alors que je n’étais qu’une fille qui n’avait pas encore d’embonpoint. Il dit aux gens: ‘Avancez-vous’, ils s’avancèrent, puis il dit: ‘Viens faire la course avec moi’. Je fis la course avec lui et l’emportai. Puis il attendit jusqu’à ce que j’aie de l’embonpoint. Je participai à l’un de ses voyages et il dit aux gens : ‘Avancez-vous’. Puis, il me dit : ‘Viens faire la course avec moi’. Il gagna la course et se mit à rire en disant : ‘Une victoire contre une victoire’ » [Ahmad et Abou Dawûd (Al-Albâni : Sahîh)].

Allah, exalté soit-Il, dit en toute vérité (sens du verset) : « Et tu es certes, d’une moralité éminente » (Coran 68/4).
).

Allah, exalté soit-Il, dit  au sujet des croyants qui ont participé au pacte d’al-Ridwân (sens du verset) : « Allah a très certainement agréé les croyants quand ils t’ont prêté le serment d’allégeance sous l’arbre. Il a su ce qu’il y avait dans leurs cœurs, et a fait descendre sur eux la quiétude, et Il les a récompensés par une victoire proche » (Coran 48/18).

Allah, le Très Haut, dit à propos du Prophète et des Compagnons qui ont participé avec lui à la bataille de Hunayn : « Puis, Allah fit descendre Sa quiétude (sakîna) sur Son messager et sur les croyants. Il fit descendre des troupes (Anges) que vous ne voyiez pas, et châtia ceux qui ont mécru. Telle est la rétribution des mécréants » (Coran 9/26).

La sérénité se manifestait toujours sur le Prophète (

Le Prophète (Salla Allahou Alaihi wa Sallam) était le meilleur de tous les hommes : il était le meilleur d’entre eux vis-à-vis de sa communauté et le meilleur d’entre eux avec ses épouses. C’est lui qui a dit :

« Le meilleur d’entre vous est celui qui se comporte le mieux avec ses épouses, et je suis celui qui se comporte le mieux avec mes épouses » [At-Tirmidhi (Al-Albaani : Sahiih)].

Cette supériorité morale dans ses relations avec ses épouses, qu’Allah soit satisfait d’elles, se manifesta sous la forme de la plus parfaite conduite qui soit ; en matière de bonnes manières, de gratification, de respect, de bon traitement, d’affection, de cajoleries, de caresses, de plaisanteries, d’équité, de miséricorde et de fidélité, entre autres vertus indispensables pour mener une bonne vie conjugale. Le Prophète (Salla Allahou Alaihi wa Sallam) était toujours de commerce agréable et affable avec ses épouses.

Son respect et sa considération pour ses épouses atteignirent un degré inouï que ni les Arabes, ni les non Arabes n’ont jamais connu, au point que le Prophète (Salla Allahou Alaihi wa Sallam) plaça son genou pour permettre à son épouse Safiyah, qu’Allah soit satisfait d’elle, d’y poser les pieds pour qu’elle puisse monter son chameau (Boukhari et Mouslim).

Cet amour, cette fidélité, cette considération, ce respect et cette bienfaisance ne s’arrêtaient pas lorsque l’une d’elle venait à décéder, mais elle se poursuivait même après sa mort. Lorsqu’il égorgeait un mouton, il le découpait et en envoyait une part aux amies de Khadîdja, qu’Allah soit satisfait d’elle (Boukhari et Mouslim).

De tous les hommes, le Prophète (Salla Allahou Alaihi wa Sallam) était le plus longanime avec ses épouses. Il pardonnait leurs écarts de conduite, faisait montre de compassion, supportait la jalousie des unes envers les autres, consolait celle qui subissait une vexation de la part de l’une de ses co-épouses, rappelait à l’ordre et exhortait cette dernière.

Anas, qu’Allah soit satisfait de lui, rapporta que quand Safiyah sut que Hafsah disait d’elle avec mépris qu’elle était la fille d’un juif, elle se mit à pleurer. Le Prophète (Salla Allahou Alaihi wa Sallam) entrant chez elle et la trouvant ainsi, lui demanda la raison de ses larmes. Elle lui répondit : « Hafsah a dit de moi que j’étais la fille d’un juif ». Le Prophète (Salla Allahou Alaihi wa Sallam) lui dit alors :

« Tu es certes la descendante d’un prophète, ton oncle paternel est un prophète et tu es l’épouse d’un prophète. Peut-elle donc se permettre de se vanter devant toi ? ».

Puis, il dit à Hafsah : « Crains Allah, Ô Hafsah » [Ahmad, At-Tirmidhi et Ibn Hibbân (Al-Albaani : Sahiih)].

Le Prophète (Salla Allahou Alaihi wa Sallam) avait pour habitude d’entrer chez ses épouses avec un sourire qui illuminait son visage, remplissant leurs cœurs et leurs appartements de chaleur humaine et de bonheur.

L’une des facettes de la parfaite éthique du Prophète (Salla Allahou Alaihi wa Sallam) avec sa famille et ses épouses, se manifestait à travers le fait qu’il était bienfaisant, affectueux et affable à leur égard ; il plaisantait avec elles, leurs disait des mots tendres et les cajolait.

Il donnait à Aïcha, qu’Allah soit satisfait d’elle, des surnoms affecteux, tels que « `Aïche » (Boukhari) ou « Homayra’ » [An-Nassâ-i (Al-Albâni : Sahîh)].

Il l’honorait en l’appelant avec le nom de son père et en lui disant : « Ô fille d’As-Siddîq » [Ahmad, al-Tirmidhi et Ibn Mâdjah (Al-Albâni : Sahîh)], en guise d’amabilité, de familiarité, d’affection à son égard, de respect et de considération pour sa famille.

Le Prophète (Salla Allahou Alaihi wa Sallam) aidait ses épouses dans toutes leurs affaires et était à leur service. Aïcha, qu’Allah soit satisfait d’elle, faisait le Ghosl avec lui et utilisaient le même récipient. Il lui disait : « Laisse-moi un peu d’eau », et elle lui disait de même (Boukhari et Mouslim).

Le Prophète (Salla Allahou Alaihi wa Sallam) envoyait les filles des Ansârs à Aïcha, qu’Allah soit satisfait d’elle, pour qu’elles jouent avec elle.

Aïcha, qu’Allah soit satisfait d’elle, évoqua cette vertu éminente du Prophète Salla (Allahou Alaihi wa Sallam) fort soucieux de la distraire et de la réjouir, et dit : « Je jouais à la poupée chez le Prophète (Salla Allahou Alaihi wa Sallam) et je reçevais des amies qui venaient jouer avec moi. Quand le Prophète (Salla Allahou Alaihi wa Sallam) entrait, elles se cachaient par timidité. Alors, il les ramenait vers moi pour qu’elles continuent à jouer avec moi » (Boukhari et Mouslim).

Le Prophète (Salla Allahou Alaihi wa Sallam) était d’un abord facile : quand Aïcha, qu’Allah soit satisfait d’elle, avait envie d’une chose, à moins que ce soit une chose réprimandée ou préjudiciable d’un point de vue religieux, il exauçait sa demande, comme, entre autres, sa demande d’accomplir une `Omrah (petit pèlerinage).

Quand elle buvait dans une tasse, il la prenait et buvait en déposant ses lèvres à l’endroit même où elle avait posé les siennes. Aïcha, qu’Allah soit satisfait d’elle, rapporta ce qui suit : « Quand je buvais quelque chose, alors que j’avais mes menstrues, puis que je le donnai à boire au Prophète (Salla Allahou Alaihi wa Sallam) il buvait en posant ses lèvres là où j’avais mis les miennes. Et quand je mangeais un os entouré de viande, alors que j’avais mes menstrues, puis que je le donnais à manger au Prophète (Salla Allahou Alaihi wa Sallam) il mangeait, en posant ses lèvres là où j’avais mis les miennes » (Mouslim).

Le Prophète (Salla Allahou Alaihi wa Sallam) s’appuyait sur le giron de Aïcha, qu’Allah soit satisfait de lui, même lorsqu'elle avait ses menstrues, et récitait le Coran. (Boukhari et Mouslim).

Quand elle avait ses menstrues, il l’enjoignait parfois de s’envelopper d’un pagne et la caressait (Boukhari et Mouslim). En outre, il l’embrassait quand il jeûnait (Boukhari et Mouslim).

Un autre aspect de sa gentillesse et de son bon comportement résidait dans le fait qu’il lui permettait de se distraire.

Lorsque Aïcha, qu’Allah soit satisfait d’elle, fut interrogée au sujet des activités du Prophète (Salla Allahou Alaihi wa Sallam) chez lui, elle répondit : « Il aidait ses épouses dans les tâches ménagères, et quand venait l’heure de la prière, il faisait ses ablutions et sortait pour l’accomplir » (Boukhari).

Aïcha, qu’Allah soit satisfait d’elle, dit : « Le Prophète (Salla Allahou Alaihi wa Sallam) recousait son Qamis, réparait ses chaussures et faisait à la maison ce que les hommes ordinaires font chez eux. » [Ahmad et Ibn Hibbân (Al-Albâni : Sahîh)].

Elle rapporta également ce qui suit : « Je sortis avec le Prophète (Salla Allahou Alaihi wa Sallam) dans l’une de ses expéditions, alors que je n’étais qu’une fille qui n’avait pas encore d’embonpoint. Il dit aux gens: ‘Avancez-vous’, ils s’avancèrent, puis il dit: ‘Viens faire la course avec moi’. Je fis la course avec lui et l’emportai. Puis il attendit jusqu’à ce que j’aie de l’embonpoint. Je participai à l’un de ses voyages et il dit aux gens : ‘Avancez-vous’. Puis, il me dit : ‘Viens faire la course avec moi’. Il gagna la course et se mit à rire en disant : ‘Une victoire contre une victoire’ » [Ahmad et Abou Dawûd (Al-Albâni : Sahîh)].

Allah, exalté soit-Il, dit en toute vérité (sens du verset) : « Et tu es certes, d’une moralité éminente » (Coran 68/4).
) et sur ses Compagnons dans les moments difficiles comme ce fut le cas lors de la bataille de la tranchée appelée aussi bataille des Coalisés. Allah, exalté soit-Il, dit les concernant (sens du verset) :

« Et quand les croyants virent les coalisés, ils dirent : « Voilà ce qu’Allah et Son messager nous avaient promis ; et Allah et Son messager disaient la vérité. Et cela ne fit que croître leur foi et leur soumission » (Coran 33/22).